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 ⁎ 2018, la contagion et le blackout.

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So it Goes
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MessageSujet: ⁎ 2018, la contagion et le blackout.   ⁎ 2018, la contagion et le blackout. EmptyVen 12 Oct - 16:21

l'épidémie et la contagion


Trois ans plus tard, le 8 octobre 2018 est connu comme le Jour de la Contagion, celui où tout a basculé. Dans la nuit, une série d'explosions a secoué la ville de San Antonio, au Texas, mettant à sac la vie de ses habitants. Depuis des mois déjà, on parlait d'une épidémie s'étant étendue à la frontière du Mexique, des cas de maladie qui avaient été déclarés par les informations, dans les camps de détention des réfugiés. Si les démentis du Gouvernement avaient suffi à apaiser les esprits, la réalité a fini par rattraper les habitants du Texas.

Et très vite, l'épidémie est devenue pandémie, partant du Texas pour rejoindre tous les états frontaliers avec le Mexique, pour mieux partir vers le Nord du Pays: un voyage en avion hasardeux, une main serrée sans y prêter attention. Les cas se sont multipliés, entre juin 2018 et octobre de la même année. Ce soir du huit octobre, la ville de San Antonio, "centre de gravité" de l'épidémie, a été complètement rasée par des bombardements. Ses 1 392 475 ont tous été déclarés tués ce soir-là, pour "la sécurité nationale", mais il était déjà trop tard.


naissance de l'épidémie et propagation
1/ juin 2018, déclaration des premiers cas
Si le début de l'épidémie reste d'origine inconnue, on retrace aisément les débuts de celle-ci. L'argument de beaucoup, serait que la maladie serait venue dans le pays par les immigrés, ceux dont on ne voulait pas aux États-Unis, à la base. Pourtant, pendant les mois qui ont suivi la manifestation du sujet 0, les spécialistes ont dénoncé, principalement, les conditions de détention et de vie des personnes retenues à la frontière entre les USA et le Mexique.
Pedro Alvar, premier patient à avoir manifesté les symptômes du Virus T3X46 a été déclaré mort dans les 3 jours après sa contagion. Le Dr Brewer, médecin légiste ayant pratiqué l'autopsie sur le malade, a été le deuxième à faire signe des premiers symptômes: il est avéré aujourd'hui que l'épidémie était déjà devenue pandémie par son biais à lui, lorsqu'il s'est rendu au Kindred Hospital de San Antonio, où il a reçu un traitement contre la grippe.

Ce qui était encore vu, en juin 2018 comme une étrange maladie isolée et limitée à une zone restreinte du sud de l'Amérique, au sein d'une population dont personne ne se préoccupait s'est, en vérité, transformée en une vague de symptômes qui se sont manifestés plus ou moins rapidement, selon les sujets. Et pourtant, fin août 2018, plus de 3.5 millions de cas étranges avaient été déclarés sur les 28 millions d'habitants du Texas. A l'époque, pourtant, le taux de mortalité du virus n'atteignait pas les 0.5%.

Moins déclarés dans les journaux et de façon officielle, près de 100 000 cas avaient été déclarés au Nouveau Mexique, 320 000 en Louisiane, 710 000 en Virginie, 2.4 millions de cas en Californie et jusque 1.1 million aussi loin que l'état de New York.

Le Mexique, quant à lui, avait commencé à décompter près de 8 millions de cas de "grippe passagère" sur les 121 millions d'habitants qui composent sa population. Le Canada, quant à lui, déclarait à l'époque, environ 400 000 cas sur ses 36 millions d'habitants.


2/ septembre 2018, l'épidémie devient pandémie
Tout se précipite début septembre 2018, quand des personnes ayant déjà déclaré le virus quelques semaines plus tôt, reviennent en masse dans les hôpitaux: sur 100% des cas, les hôpitaux ont estimé un taux de rechute allant jusqu'à 98%. Envahis de malades se tordant de douleur, les hôpitaux ont rapidement perdu pieds. En quelques jours à peine, 20% de ceux qui étaient retournés à l'hôpital sont déclarés morts.

"On aurait dit la peste..." avait reporté un infirmier, interviewé par un bloggueur indépendant- "Les patients avaient développé des excroissances sur leurs jambes, le torse, dans le cou ou même sur le visage.". L'un des médecins a même prétendu encore pouvoir lire un battement de cœur, chez un patient déclaré mort. Loin des news nationales, les corps ont été disposés par les services de santé nationale, et ont été incinérés.

Cela n'a en rien endigué la maladie, au contraire. En un mois, les cas rapportés de maladie ont doublé dans les cinquante états des États-Unis et ont été multipliés par trois dans le Texas, en Californie et en Floride. Fin septembre 2018, les premiers témoignages sont venus, de personnes s'étant faites attaquer par des patients agressifs: morsures, écorchures, plaies, les preuves étaient évidentes. Les patients qui, autrefois mouraient, ont commencé à développer un caractère agressif et dangereux. Un médecin a déclaré avoir enregistré le pouls d'un de ses patients, aussi haut que 351 battements par minute.

Les cas de "morts suspectes" se multiplient dans le pays.


3/ octobre 2018, la contagion
La nuit du 8 octobre, un transport de l'armée destiné à transporter les corps de tous ceux décédés dans les hôpitaux de San Antonio au cours des vingt-quatre dernières heures, a brusquement disparu. Ce soir-là, la ville de San Antonio a été livrée à un carnage: des monstres descendant dans les rues, sautant sur tous ceux qui se trouvaient là- en dévorant certains, en laissant d'autres vivants. En quelques poignées d'heures à peine, presque tous les quartiers de la ville ont été dévastés et pris d'assaut. L'armée, qui a tenté une mise en quarantaine et une évacuation de la ville, s'est vite avouée vaincue. A 3h12 dans la nuit du 8 octobre au 9 octobre, la ville de San Antonio a subi une série de bombardements qui, d'après les dires nationaux, l'a rasée complètement, et a tué toute sa population.

Le 9 octobre 2018, le président met en place la Directive 51, déployant Homeland Security sur le territoire. A partir du 11 octobre 2018, de nombreuses mises en quarantaine sont organisées dans des villes à travers le pays. Si les politiques tentent de se montrer rassurants, personne parmi la population n'est dupe, et alors que l'armée commence à rassembler les citoyens dans des zones sécurisées, la tension monte avec l'incompréhension.

Le 16 octobre 2018, la Contagion de la ville de New York frappe sans prévenir: à 8heures du matin, de nombreux habitants coincés dans le trafic sont soudainement attaqués dans leur voiture. La panique devient carnage en une poignée de minutes. L'armée n'a pas eu le temps d'intervenir avant que tout le quartier de Manhattan ne soit considéré comme détruit par la Contagion. Le Bronx devient le centre d'un spectacle sanglant, où l'armée affronte ce que certains peuvent décrire comme des "humains, mais monstrueux" aux télé locales qui essayent de récolter des informations.

Les populations qui peuvent être évacuées le sont, mais très vite, des statistiques inquiétantes sortent sur internet, déclarant 75% à 80% de la population new-yorkaise décédée ou disparue.


4/ octobre-novembre 2018, les extractions
Incapables de cacher une réalité alarmante désormais, les autorités américaines organisent des extractions à travers tout le pays. Grâce à leurs alliés à travers le monde, les États-Unis, se préparent à évacuer leur population à bord de bateaux et d'avions, vers des destinations étrangères. Le premier arrivage en Allemagne depuis la ville de Portland, provoque une Contagion à Berlin, qui s'étendra très vite dans le Centre de l'Europe.

D'autres groupes de survivants sont envoyés à travers le monde, jusqu'en Inde, Chine, ou encore en Australie. Si les médias et les autorités se veulent optimistes et rassurantes, la population n'a plus confiance.

Les évacuations prennent tragiquement fin en novembre 2018, trois semaines à peine après l'organisation des premiers départs: de nombreuses zones d'évacuation sont attaquées par des humains Contaminés. Les liens radio sont perdus entre les différentes zones, certaines sont bombardées pour la sécurité nationale, d'autres sont presque oubliées, passées sous silence.  


5/ novembre 2018, le blackout
"En quelques mois à peine, tout un pays a été mis à terre", dans les mémoires des uns et des autres, ceux-ci demeureront être les derniers mots du président Américain à ses concitoyens. Quelques heures plus tard, les télévisions du pays n'affichaient plus que de la neige et du silence.

Télé, radio, journaux, et parfois même électricité et internet, tout a peu à peu arrêté de fonctionner. Certains témoignages oraux, aujourd'hui, retracent les bombardements continus de l'armée à travers le pays, avant que ceux-ci aussi, ne finissent par s'arrêter. Le président et sa famille ont, il semblerait disparu de la circulation et les raids de l'armée se sont faits de plus en plus rares, pour disparaître complètement au début de l'année 2019.

Dans les mémoires de tous, l'Amérique est définitivement tombée en octobre 2018, quand plus rien n'a été comme avant.

Au Canada, le Blackout aura lieu en janvier 2019.

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⁎ 2018, la contagion et le blackout.

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